Je ne me souvenais pas que cette histoire était si noire, si cruelle. Peut-être que le bonimenteur me faisait penser au ton glauque et stressant de "Je tremble (1 et 2)". Toujours est-il que magie et cynisme, beauté et fièvre sont au rendez-vous. Superbe illusion que la scène hors de la baleine.
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