Sommé de lire relativement vite son recueil d'histoires, entre le café et le dîner, à la lecture des deux premières nouvelles, je me suis ennuyé. Puis, avec surprise « L’intruse » vint, d’autres suivirent, et les dernières nouvelles, jusqu’à Odette, m’ont permis de ne pas sortir du volume avec amertume – et aigreur. Sans que cela soit extraordinaire, la vie quotidienne de ses personnages, de ces héros, a touché l’être que je suis. Il a saisi avec justesse la douleur et la détresse, et a su la dire avec authenticité. Sinon, je ne sais plus.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire